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samedi 31 août 2013

Nouveauté livre - NO MORE MEN ! de Julie Belandorey - La chick lit de la rentrée !

No more men !

de Julie Belandorey


Disponible en version imprimée et E-book PDF sur notre site internet
et  E-book ePub sur Itunes Applestore et Amazon




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Le mot de l'éditeur
Si nous publions des romans depuis quelques temps, nous n’avions pas encore de comédie romantique au catalogue. No more men !, manuscrit inhabituel parmi d’autres, nous a fait rire !
Son écriture très cinématographique, fraîche et ensoleillée a envahi le bureau, et nous a convaincu qu’elle méritait publication et succès.
Notre rencontre avec Julie Belandorey a renforcé notre envie, et des liens forts se sont tissés tout au long de l’aventure.
No more men !, que ce titre nous le pardonne, est un vrai bébé, qui a absorbé beaucoup d’amour de ses deux parents.

Julie Belandorey
Julie Belandorey est née le 27 avril 1978 à Besançon. Malgré sa formation scientifique et son diplôme d’ingénieur, elle a depuis son enfance la passion du cinéma et des pages griffonnées. Elle aime raconter des histoires, les faire évoluer, les métamorphoser, les visualiser, pour notre plus grand bonheur. On la connaît depuis L’écho des abysses en 2009, son premier roman, et la pièce de théâtre Déra- page assuré, comédie loufoque, jouée avec succès à Paris au cours de l’été 2010. Elle signe ici sa première «Chick lit» sur un rythme endiablé, des situations tendres ou improbables, un humour décapant, dans lesquels toute femme se reconnaîtra, et tout homme jubilera ! Un livre à lire, à rire, à rêver, à passer à sa copine, et aussi à la copine de sa copine.

Le mot de l’auteur
Une Fille c’est compliqué: jardin secret, certitudes, doutes, et un certain nombre de résolutions qu’elle tente de tenir pour trouver la piste du bonheur. Une Fille est une personne attendrissante, mais la complexité de ses sentiments constitue l’essence même de sa souffrance. C’est cet aspect que je développe dans ce roman. J’ai fait d’Isabelle un personnage en pleine remise en question de sa vie, en plein doute sentimental. Un personnage qui s’interdit d’aimer en pensant que ça ira mieux ainsi. Et comme rien n’est gravé dans le marbre, j’ai aussi voulu montrer que la pureté des sentiments peut mener au bonheur : restons simples et sincères, l’âme sœur est forcément au coin de la rue...

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samedi 24 août 2013

Presse partitions - L'éducation Musicale n° 72 - Recension des partitions des Editions Delatour France


Andrew AGER : Toccata et Fugue op.30 n° 1 pour orgue. Delatour : DLT2136.
On écoutera avec beaucoup de plaisir cette pièce sur le site de l’éditeur. La toccata, très brillante, fait penser parfois à Jehan Alain, mais c’est un avis tout personnel. Quoi qu’il en soit, on est emporté et charmé par ce flot de musique qui demande quand même un instrument qui ait du « coffre ». A cette toccata succède une fugue très lisible dont le thème est très lyrique. Elle se termine, bien sûr, en apothéose. Bref, cette œuvre séduisante devrait faire le bonheur des organistes.




Rodolphe AUGUSTE-DORMEUIL : Ballad for Sandrine pour contrebasse et piano. Assez facile. Delatour : DLT2181.
Il s’agit de la troisième pièce d’une série de courtes œuvres pour contrebasse et piano qui retracent les grands courants musicaux du XX° siècle. Celle-ci est composée dans le style de Duke Ellington. Il s’agit d’une romance sentimentale faisant appel au « contrepoint » du Duke. Les harmonies délicates et le « swing » (ternaire) lui donnent un caractère tout à fait séduisant.




Cette œuvre très belle et très poétique a été « composée en hommage à la musique israélo-arabe du bassin méditerranéen. » Elle « en utilise certaines bribes de phrases et modes ainsi que la façon de faire sonner instruments à cordes pincées ou « soufflées » ». Les éditions Delatour nous permettent d’écouter l’intégralité de cette œuvre sur leur site. Il ne faut surtout pas s’en priver !



Christophe FRIONNET : Variations autour d’un Moi réfractaire pour 3 flûtes à bec. Niveau moyen. Delatour : DLT2132.
Cette pièce atonale pour deux flûtes soprane (élèves) et une flûte alto (professeur) se caractérise en particulier par le fait que le thème n’apparaît qu’au terme des trois variations. Elle est d’abord un travail sur les sonorités et les frottements de notes mais n’utilise aucun procédé spécial de jeu. C’est à découvrir.






Joseph-Ermend BONNAL : Prière et Choral pour quintette à cordes et orgue. Delatour : DLT1816.
La pièce, composée en 1908 à la mémoire de l’organiste compositeur Samuel Rousseau mort en 1904 fait évidemment penser à Franck dont Samuel Rousseau a été l’élève. On notera notamment que le choral est en la mineur… Cette œuvre à l’écriture fouillée mérite de figurer au programme de nos concerts même si les salles avec un orgue digne de ce nom sont plutôt rares sur Paris… Mais il n’y a pas que Paris en France !




Daniel Blackstone

Presse livres - Mélodie et fonction mélodique comme objets d'analyse - Textes réunis par Bruno BOSSIS

L'éducation Musicale n° 72

Bruno Bossis 

Mélodie et fonction mélodique comme objets d'analyse 

Collection Pensée Musicale


DLT0911


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Ce livre constitue les Actes du Colloque qui a eu lieu en octobre 2006 à l’IRCAM. Il paraît dans la Collection « Pensée Musicale », sous la direction de Jean-Michel Bardez, centrée autour de la question : « La notion de musicologie est multiple et ouverte : ne s’agit-il pas de penser le musical tout à la fois dans chaque contexte et, de manière plus générale, pour l’être humain, dans le cours d’une véritable anthropologie ? » 

Neuf auteurs français et étrangers abordent des problèmes relatifs à la phénoménologie de la mélodie ; au processus mélodique (dynamique musicale, dynamique sonomotrice) et au sens du symbole ; mais aussi à la fonction de la perception dans l’écoute ; aux implications harmoniques et phraséologiques de la mélodie tonale. Les Sonates pour violon seul  de Jean Sébastien Bach révèlent « la relation durées/hauteurs ou de la fragmentation » et, plus proches de nous, à la fin du XXe siècle, la tonalité mélodique est étudiée chez Edgar Varèse ; et l’écriture mélodique, dans un extrait de Terrain (1992) de BrianFerneyhough (hommage à E. Varèse), et enfin la présence de cycles et chaînes mélodiques dans Wagner Dream (2006) de Jonathan Harvey. 

Les communications, très bien structurées et présentées avec de nombreuses citations musicales et exemples musicaux à titre de démonstration, ainsi que des tableaux synoptiques, sont aussi dotées d’importants repères bibliographiques très utiles. Cette synthèse concernant la fonction mélodique repérable à la lecture (partition) comme à l’écoute (œuvre interprétée, musique improvisée ou tradition orale) démontre que « dans la plupart des cultures, la fonction mélodique représente indéniablement l’un des éléments les plus fortement structurants de l’art musical », sans oublier les « invariants ». Cette publication qui fait honneur à l’IRCAM complètera, sous l’aspect mélodique, les nombreuses approches analytiques actuelles.

Quant à l’auteur, il fait preuve d’un solide esprit d’analyse (cf. imposante Table des exemples musicaux, p. 265-268) et d’un remarquable esprit de synthèse. 
Édith Weber