Léon Bloy, lettres à ses filles
Madeleine Bloy, souvenirs d'enfance
Présentation et iconographie de
Alexis Galpérine
Les lettres de Léon Bloy à sa famille, à l’évidence, n’étaient pas destinées à la publication. Elles firent, malgré tout, l’objet d’une édition à tirage limité en 1952, et sont depuis longtemps devenues introuvables. Elles sont accompagnées, dans le présent ouvrage, des souvenirs d’enfance de Madeleine Bloy-Souberbielle, fille cadette de l’écrivain, et sont enrichies d’une iconographie qui, pour partie, n’était jamais sortie d’un cadre privé.
En annexe, figure un charmant récit de Madeleine Gilbert-Fuget, fille de l’architecte Raoul Gilbert, une évocation de ses visites de petite fille chez les Bloy au tournant du XXème siècle.
Les textes introduisent le lecteur dans l’univers quotidien de Léon Bloy, sous un éclairage intime, souvent singulièrement poignant, et, à ce titre, ils offrent un complément au célèbre Journal de l’écrivain. Les connaisseurs verront apparaître fugitivement des figures familières : les Maritain, les Van der Meer, les Rouault, les Levaux, Jehan Rictus, le père Léonce Petit, Ricardo Viñès, Félix Raugel, Vincent d’Indy, ou encore le grand géologue Pierre Termier... hôtes de passage qui viennent dîner, faire de la musique ou entendre Bloy lire ses dernières pages d’une belle voix de basse. À propos de la correspondance intime, Léopold Levaux écrit : «C’est d’un homme de douleur et de combat [...] qu’émanent les lettres qu’on va lire.
Contraste émouvant et prenant, avec elles nous pénétrons dans le grand univers de Bloy par une toute petite porte, secrète et douce, qu’on serait tenté d’appeler, en recourant à l’épigraphe du dernier volume de son journal, la porte des humbles».
En annexe, figure un charmant récit de Madeleine Gilbert-Fuget, fille de l’architecte Raoul Gilbert, une évocation de ses visites de petite fille chez les Bloy au tournant du XXème siècle.
Les textes introduisent le lecteur dans l’univers quotidien de Léon Bloy, sous un éclairage intime, souvent singulièrement poignant, et, à ce titre, ils offrent un complément au célèbre Journal de l’écrivain. Les connaisseurs verront apparaître fugitivement des figures familières : les Maritain, les Van der Meer, les Rouault, les Levaux, Jehan Rictus, le père Léonce Petit, Ricardo Viñès, Félix Raugel, Vincent d’Indy, ou encore le grand géologue Pierre Termier... hôtes de passage qui viennent dîner, faire de la musique ou entendre Bloy lire ses dernières pages d’une belle voix de basse. À propos de la correspondance intime, Léopold Levaux écrit : «C’est d’un homme de douleur et de combat [...] qu’émanent les lettres qu’on va lire.
Contraste émouvant et prenant, avec elles nous pénétrons dans le grand univers de Bloy par une toute petite porte, secrète et douce, qu’on serait tenté d’appeler, en recourant à l’épigraphe du dernier volume de son journal, la porte des humbles».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Pour vous aider à publier votre commentaire, voici la marche à suivre :
1) Ecrivez votre texte dans le formulaire de saisie ci-dessus
2) Si vous avez un compte, vous pouvez vous identifier dans la liste déroulante Commentaire
Sinon, vous pouvez saisir votre nom ou pseudo par Nom/URL
3) Vous pouvez, en cliquant sur le lien S'abonner par e-mail, être assuré d'être avisé en cas d'une réponse
4) Cliquer sur Publier enfin.
Le message sera alors publié.